25 mai 2010

Un gros lapin vert

C'est le retour du soleil \o/

Alors, non, aujourd'hui, interdit de déprimer, ce NE peut être une mauvaise journée =) D'ailleurs, comme vous pouvez le constater, j'ai décidé de modifier un petit peu la ponctuation pour l'occasion ^^ Insupportable, n'est-ce pas ;)

En fait, je crois qu'il est temps de redéfinir le programme de Français niveau collège, en commençant par ajouter un module sur la bonne utilisation des émoticônes. Après tout le langage évolue. Les programmes d'Histoire et de Géographie, sont bien mis à jour régulièrement pour intégrer les dernières années écoulées. Et nous n'apprenons plus le françois d'avant 1835. Je ne dis pas qu'il faut enseigner le jargon SMS, mais avouez qu'on a créé un nouveau moyen de communication plutôt efficace et le plus souvent compréhensible en s'affranchissant totalement de l'orthographe. Quant aux émoticônes, elles apportent une information supplémentaire - humour, tristesse, complicité... - aux phrases à l'interprétation parfois ambiguë. Bref... Ce n'est pas le sujet de cet article, mais je m'interroge sur l'avenir du français... Voilà.

Du soleil, des animaux qui swinguent, des dessins qui donnent le sourire, et en plus c'est pédagogique, voici ma petite sélection vidéo du jour. Bonheur et bonne humeur.





Mes deux préférées :





Ces vidéos sont réalisées par la Big Green Company, pour son show nommé Big Green Rabbit, une émission immonde animée par un affreux lapin vert en peluche. Je n'ai pas réussi à regarder.

Vous pouvez retrouver les personnages sur le site www.biggreenrabbit.com, avec des jeux, des shows, un karaoké et même des cours de danse. Les animations sont insupportables mais trop choupies.

Ah oui, j'oubliais, le directeur d'animation de Big Green Rabbit c'est Bernard Derriman, vous le connaissez sûrement, c'est lui qui a réalisé Pop, pour le festival d'Annecy, ce court métrage d'animation à base d'attaque aux bouchons de champagne, qui a pas mal buzzé ces dernières semaines.

♪♫♬ Rhino, every body knows... <3

19 mai 2010

Les jours étranges

Si je vous dis photo-roman...

Oui, moi aussi, le premier truc qui me vient à l'esprit c'est ces histoires d'amour ultra-mièvres en plusieurs épisodes qu'on trouve dans certaines revues adressées à la ménagère de plus de 50 ans. Il y en avait à la laverie, c'était le kif, on se poilait trop.

photo-roman revisité par Tronchet (Fluide Glacial) dans sa BD “Jean-Claude Tergal”

Ne partez pas !!! C'est un autre type de photo-roman que je veux vous présenter. Parce que, aussi surprenant que cela puisse paraître, cette dénomination ne fait pas uniquement référence à ces photos, agrémentées de textes dans des phylactères, à la manière des bandes dessinées, qu'on trouve dans certains magazines.

Le photo-roman est aussi un style cinématographique qui consiste à raconter une histoire via un montage à partir de photos fixes et une narration en voix off. Vous me croyez pas ? Et... Chris Marker... La jetée... Tout ça ?

Bon, je me dois de parfaire votre culture.

La jetée est un photo-roman, le plus célèbre du genre, réalisé par Chris Marker en 1962. Ce film a inspiré, entre autres, Terry Gilliam pour l' Armée des douze singes. Je vous laisse le découvrir si vous avez une demi-heure devant vous.


Cette succincte introduction pour en arriver à la découverte du jour, un photo-roman sombre et vampirique, les jours étranges, réalisé dans le cadre du projet collectif de la promotion 20.1 de l'école ARFIS, Lyon.

réalisation : Yuki Taori, Florentin Hespel, Guillaume Martin-Jarrand et Paul Sabatier
avec : Victor Maillot, Caroline Janin, Baptiste Guey
et la voix trop sexy de Yuki Taori
genre : drame
durée : 00:05:21
publié le 23 juillet 2009


Merci à Clémentine Za.

14 mai 2010

Macarons tagada

Eh oui ! comme le titre l'indique, aujourd'hui c'est recette. Il y a vraiment de tout et n'importe quoi sur ce blog. Mais ça va vous plaire : d'abord les macarons c'est parisien, la capitale, la mode, tout ça... Et les bonbons c'est... bon ! :)

D'ailleurs, avec Monsieur Bobi, quand on a vu la recette, on s'est dit direct : "bonbon+macaron=bon". Et en bons scientifiques que nous sommes, nous avons testé l'équation.

Si vous trouvez qu'il y a bien beaucoup de "bon" dans cet article vous avez tout bonnement raison. C'est que je tente subtilement de vous nettoyer l'encéphale... Opération "CONSOMMATION" ! C'est aussi ça, un blog.

En route, direction le magasin pour achat de Tagada, c'était parti mon kiki. Et le résultat, quelques heures jours plus tard : BON !

Une coque légère et croustillante, une ganache à la saveur nostalgique des tartelettes à la fraise. Une réussite. Il fallait désormais partager ça avec la Terre entière (comprendre : mon humble lectorat). Alors voilà. Je commence à vous voir saliver, là.

Il existe plusieurs façons de réaliser les macarons ; dans cette recette nous utiliserons la méthode Gerbet, à l'origine des petits macarons parisiens traditionnels. Je vous épargne le gros de l'histoire du macaron, pourtant passionnante, je suis gentille, tavu !

Oui, oui, la recette arrive. Z'êtes bien impatients tout à coup.

Avertissement

Les macarons se préparent la veille, voire l'avant-veille (préparation des œufs).
Prévoir au minimum 3h. Un macaron ça se mérite.
La recette permet de réaliser 20 macarons environ, mais je vous conseille fortement de doubler les proportions, parce que la préparation est longue et que c'est bon.

Matériel

plaque à pâtisserie
mixer
batteur électrique ou fouet mais là ça va être sportif
tamis
balance de cuisine
papier sulfurisé
maryse ou spatule en plastique
(poche à douille lisse)


Ingrédients


pour les coques
2 œufs
140g de sucre glace
85g de poudre d'amandes
20g de sucre semoule

pour la ganache
100g de fraises tagada
6cl de crème liquide
20g de chocolat blanc

Préparation des coques

- Mixer ensemble, finement, le sucre glace et la poudre d'amande. Ce qui a pour résultat de créer des gros agglomérats de poudre bien durs qui vont bloquer votre mixer. Ce n'est pas le but.

- Tamiser au-dessus d'une grande feuille de papier cuisson afin d'obtenir une poudre la plus fine possible. Ça c'est le but.

- Dans un saladier, monter les blancs en neige. Dès que le fouet laisse des traces, commencer à ajouter petit à petit le sucre en battant au maximum, jusqu'à obtenir un effet bec d'oiseau. Comme sur la photo, si c'est pas bô :)

Astuce : séparer les blancs des jaunes la veille, et sortez les blancs du frigo quelques heures à l'avance, pour un résultat optimal.

- Si vous voulez des macarons tous beaux, tous roses, c'est le moment d'ajouter le colorant (environ 18 gouttes de rouge et 4 de bleu pour obtenir du rose). Personnellement, j'en ai pas mis assez, z'étaient tous pâlots.

- Tamiser/verser les poudres au-dessus des blancs. Puis les incorporer délicatement en allant de l'extérieur vers le centre avec la maryse. Ça s'appelle le macaronnage, pour utiliser les termes techniques, mais je sais pas avec combien de "n". Le mélange doit être lisse et brillant.

- Découper des feuilles de papier sulfurisé de la largeur du four. Déposer la pâte en formant des petits ronds (3 cm de diamètre environ) à la cuillère ou à la poche à douille. Attention à ne pas les faire trop rapprocher, la pâte a tendance à s'étaler un petit peu. En fait, disons plutôt 2 cm de diamètre. Oui. C'est mieux.

- Laisser croûter les coques 1h minimum afin qu'elles conservent leur forme lors de la cuisson. Oui, on dit croûter. Cette étape est très importante si vous ne voulez pas que vos coques prennent des allures de cookies.

- Cuire entre 12 et 15 min à 140°C (chaleur tournante). Si vos coques commencent à blanchir et/ou dorer c'est que votre four est trop chaud. Baisser la température, quitte à laisser les coques plus longtemps.

- Une fois les coques sorties du four, laisser les refroidir une ou deux minutes. Elles devraient se décoller toutes seules. Sinon, c'est qu'elles manquent de cuisson. Vous pouvez toujours essayer de les décoller en humectant un peu le papier cuisson.

Préparation de la ganache

- Faire fondre dans une casserole à feu doux, les fraises, le chocolat blanc dans la crème. Maintenir au chaud jusqu'à assembler les coques deux à deux avec une cuillère de ganache. Vous pouvez mettre un peu plus de chocolat blanc et de crème pour obtenir une consistance plus onctueuse.

Placer au frais. Vous pourrez apprécier toute leur saveur dès le lendemain.


Yumm ! :)

Ah oui, si vous voulez une recette plus lisible, ou que vous cherchez d'autres parfums, allez sur puregourmandise.

11 mai 2010

Avez-vous déjà vu bobi contre les maudits cafards ?

En ces jours humides et froids, difficile de ne pas accorder son humeur au temps. Me voilà maussade et triste, me voilà terne, aigrie. Heureusement, pour lutter contre le vilain cafard, j'ai ma petite solution...

Eh oui ! C'est court, c'est drôle et y en a des centaines. Non, je ne parle pas des zizis de Monsieur Bobi, mais des "Avez-vous déjà vu". Bien évidemment.

Je sais, ça date. Mais c'est toujours aussi bon. Et pour redonner un peu de sourire à ce morne mois de mai, voici ma petite sélection.





Oui, je peux être très caca-prout par moment.








Et un dernier pour vous donner un avant-goût des vacances.


Maintenant oui !

Et vous, c'est quoi vos petites astuces pour retrouver le sourire ?

6 mai 2010

La chaussettologie

Mon coup de cœur du jour, beaucoup moins sombre que "Malheur" et pour cause, j'ai découvert cette vidéo en cherchant "Happiness", et c'est que du bonheur.

Et si on sauvait la planète en ne portant plus de chaussette.

La chaussettologie est un court métrage d'animation de Yann Benedi et Celine Desrumaux réalisé pour l'événement Challenge Your Word qui a eut lieu à Montréal le 19 Novembre dernier.

réalisation : Yann Benedi et Celine Desrumaux
son/bruitage : Jean-Francois Leroux
genre : animation
durée : 00:02:20
publié le 19 novembre 2009



La chaussettologie from Benedi yann on Vimeo.

D'autres réalisations de Yann Benedi sur son Vimeo.

4 mai 2010

Flame

Souvenez-vous, la semaine dernière, je vous présentais Harmony, un outil de dessin en ligne. Aujourd'hui, dans le même genre, voici Flame, et ça déchire tout !

ça c'est pas moi qu'a fait

Flame est un outil expérimental de dessin qui comporte une variable instable imitant un effet de flammes. C'est beau, c'est graphique, et tout le monde peut essayer.

Cette fois-ci pas de démonstration, pas de tutoriels, je vous laisse découvrir par vous-même, c'est par ici. Et je vous invite très fortement à aller visiter la galerie.

ça c'est ma pitite prestation
Flame is a painting program, it belongs to my 'I am Artist' experimental project.
Cette expérimentation graphique est signée Peter Blaškovič, un designer et animateur 3D de 35 ans. Passionné d'animation, il travaille en tant que chef animateur dans une compagnie de développement de jeux virtuels, et passe son temps libre à développer plein de projets de ce genre. Vous trouverez ses autres créations expérimentations œuvres sur son site. Vraiment, allez-y !

Merci à @treize_ pour cette découverte.

Cadeau :)

Avec aBowman, on peut installer des gadgets inutiles mais mignons pour personnaliser son blog. C'est les enfants qui vont être contents !

Pour cela, rien de plus simple, choisissez le gadget qui vous plait ici, et copiez le code "embed". Puis collez le où vous le souhaitez, par exemple dans un article comme ici.

Vous pouvez également choisir d'avoir cette charmante compagnie sur votre page iGoogle. Il suffit alors de cliquer sur le bouton "add to google".

Non je ne prends pas mes lecteurs pour des idiots, seulement il y a probablement quelques newbies parmi vous, qui apprécieront ces précisions.



Je vous ai bien eu, Niark Niark Niark. Maintenant, vous êtes O-BLI-GÉS de vous occuper de mon hamster.